sexta-feira, 25 de abril de 2008

Thing´s

Ce qui s’est imposé assez vite, c’était d’écrire sur Carpenter, par exemple, qui, à l’époque, a fait The Fog, un très grand film. C’était pas du tout le genre de cinéma sur lequel on écrivait aux Cahiers. Ce qui me frappait, c’était quelque chose qui commençait dans le cinéma d’épouvante et qui était l’équivalent d’une sorte de cinéma indépendant américain. C’était l’endroit où de jeunes cinéastes pouvaient faire, de façon très libre, des films pour des budgets minimes, des séries B intuitives qui pouvaient faire résistance à la machine hollywoodienne. Parmi ceux-là, outre Carpenter, il y avait Wes Craven, mais aussi David Cronenberg, trois cinéastes dont le travail m’impressionnait beaucoup et qui m’accompagnent encore aujourd’hui.

Olivier Assayas, aqui, e aqui

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Tanto serve para dizer o tanto que amo estes filmes, como para reiterar completamente o que escrevi por alturas do Fantasporto.
Boarding Gate é filmaço!

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